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Gin Fizz
27 juin 2013

Pink Flamingo

De_tail_1     De_tail_2_

"Voilà l'été, voilà l'été", chantaient les Négresses Vertes en 2001. Il faut bien dire que cette année, on l'aura attendu un sacré bout de temps, l'été. Et encore... si sur le calendrier, on est bien en plein dedans, les discours navrés et dépités d'Evelyne Dhéliat et consorts ont de quoi nous faire hésiter sur la réalité des choses.

J'ai donc eu bien du mal à concocter mon quatrième et dernier look saisonnier (toujours dans le cadre du partenariat avec Les Bijoux Précieux), d'autant que, pour des raisons d'organisation interne, il m'a fallu imaginer ce que serait ce look plusieurs semaines en avance. Pas facile de se constituer une tenue estivale lorsque le thermomètre affiche résolument 9° ou que la pluie de mars avril mai juin s'invite chaque jour au programme.

Et au petit jeu des devinettes météorologiques, j'ai été blousée. Moi qui avait prévu pour ce 4ème édito un look très Gipsy Queen à base de jupon froufroutant et de bijoux tintinabulants, j'ai du me rabattre en vitesse sur une tenue nettement moins olé-olé - mais nettement plus de saison - le jour où il a fallu shooter les quelques photos de look.

C'est donc en jean (mais pastel), en t-shirt (mais strassé) et en bijoux (mais colorés et bling-bling) que j'ai décidé d'apprivoiser cet été mi-figue mi-raisin. Des couleurs douces et light rehaussés de pointes de couleurs et de lumière. Un peu ma marque de fabrique, finalement...

La suite ici, comme d'habitude.

PS : Si tu connais un bon moyen pour perdre facilement le reste de bidou post-grossesse, envoie BIDOU au 8 13 13.

Look_5

Look_3


Joue là comme une blogueuse mode :
Top Des Petits Hauts 2012 / Jean Zara 2011
Ballerines Maloles 2011 / veste Maje 2009 (vintage, quoi !)
/ Sac Dreyfuss
Collier BalaBooste pour Monoprix / Bracelet Shourouk

 

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19 septembre 2013

Ciel, mon dessert !

angel_cake_ciel

D'abord les macarons. Ensuite les cupcakes. Puis, en vrac, les petits choux, les éclairs, le bubble tea... A chaque mode gourmande, j'ai plongé dedans tête baissée et bouche grande ouverte. Vous commencez à me connaitre : jamais la dernière quand il s'agit d'aller s'encanailler les papilles au sucré. (Hein ? Les kilos à perdre ? Oh, ça...). Il était donc parfaitement logique que j'aille lorgner de plus près sur la dernière mode du moment en matière de pâtisserie...

Les Angel cakes, vous connaissiez ? C'est plutôt joli comme nom. Ca évoque bien ce que c'est supposé être : un gâteau léger, aérien, tout en douceur et en apesanteur. C'est une création d'origine japonaise, et là-bas, ils le nomment Chiffon cake. Oui, c'est moins marketeux, et j'avoue que je cherche encore le rapport, mais je ne veux contrarier personne.

C'est à la pâtisserie joliment baptisée Ciel, en plein coeur du 5ème arrondissement parisien, que l'on peut se procurer ces gâteaux du futur. Aux commandes de la boutique, Aya Tamura, qui a fait ses classes chez les prestigieux Jules Verne et Saturne entre autres, m'explique la chose plus en détail : le Angel Cake se compose d'une génoise ultra légère, à la limite du mousseux, réalisée à partir de blancs d'oeufs et sans matière grasse. Pour un rendu plus gourmand (calorique serait le mot juste), il est évidé en son centre, et garni d'une crème onctueuse et sucrée, qui contrebalance l'aspect plus sec de la génoise. Plusieurs parfums à déguster : chocolat, vanille, framboise, praliné rose, earl grey pamplemousse, thé vert matcha, citron yuzu...

Evidemment, j'ai goûté. (Quelle question...)

Mon verdict ? Je dirais "moyen plus". Un petit 11/20 sur l'échelle de mes trucs à calories +++ préférées. Peut mieux faire, donc.

Visuellement, le Angel Cake ressemble quand même à une grosse éponge. Jolie, certes, si on opte pour un gâteau rose, mais plus proche de Bob si on choisit, comme moi, la saveur citron Yuzu. Heureusement, le design voulu par la patisserie Ciel rend l'ensemble plutôt raffiné.
Au goût, je reste extrêmement partagée. La crème est excellente, acidulée comme il faut avec une petite pointe de croquant (des zestes d'agrumes ?), et donne à l'ensemble une vraie unité gourmande. Mais la génoise seule me déçoit un peu. J'imaginais quelque chose d'encore plus léger, qui fond presque dans la bouche, un peu comme la barbe-à-papa.
Malgré tout, ce dessert reste très léger, et vient conclure parfaitement un repas un peu copieux sans avoir l'impression qu'on y laissera son estomac et trois tubes de citrate de bétaïne.

Je ne traverserai pas Paris pour me ravitailler, sauf peut-être si l'envie me prend un jour d'aller goûter cette fois aux Angel Cakes salés, proposés depuis peu par la Pâtisserie.

La bonne idée un peu bobo ? Le Angel Cake existe en grand format, à partager à plusieurs. Voilà une piste de dessert qui sort de l'ordinaire si vous avez envie d'épater vos invités ou les personnes chez qui vous êtes convié. Il est en plus emballé dans une très jolie boîte en origami du plus bel effet. Certes, pas sûr que vous remportiez l'adhésion niveau papilles, mais au moins, ça vous changera des éclairs Fauchon et des MontBlanc Angelina, non ?

Pâtisserie Ciel : 3, rue Monge - 75005 Paris
Plus d'infos sur le site ici.

Angel_cakes_boi_te

Angel_Cake_origami

Angel_Cake_1

15 juin 2015

Blog-Notes #7

chemise Pimkie

Ah ah, la vieille rubrique de blog extirpée des bas fonds, dont le numéro précédent date de... décembre 2012 ! C'est tout moi, ça... des nouvelles idées de rubriques en pagaille, et jamais rien qui tient la route très longtemps.
Et puis, j'avoue, je reviens un peu sur la pointe des pieds avec un billet fourre-tout et décousu, mais au moins, je reviens (et je parie que beaucoup ne pensaient plus me voir passer une tête par là, j'me trompe ?)

* L'INSTANT MODE *
Loin de moi l'idée de jouer subitement les blogueuses mode, vu mon amour immodérée pour les séances photos. Mais je dois dire que je ne suis pas peu fière de ma petite trouvaille fleurie qui fait son petit effet. Très Sézane-like de l'attitude (pour les non-connaisseuses, Sézane, c'est là), et vague copie, il me semble, d'une ancienne collection The Kooples, mais avec à peu près trois zéros en moins sur l'étiquette de prix.
Mesdames, mesdemoiselles, applaudissez bien fort la petite blouse Pimkie à 26 euros ! (et encore, payée plein pot... or je vous rappelle que les soldes déboulent dans 10 jours). Ouais... Pimkie... l'enseigne où je n'avais pas remis les petons depuis environ 22 ans, et qui recelle parfois de jolies surprises, pour peu qu'on se donne la peine de fouiller un peu.
Chemise fleurie, 25,99 €.

* L'INSTANT GOURMAND *

Les chouettes

Enfin eu l'occasion de tester l'un des restos parisiens dont on parle beaucoup en ce moment : les Chouettes, dans le Haut-Marais parisien. Verdict  ? Chouette, mais sans plus. Je m'explique : le cadre est vraiment vraiment très beau. Une décoration esprit art déco, de l'espace à table ET entre les tables (coucou la grande table centrale en bois pour seulement 6 personnes), de la hauteur sous plafond, une belle lumière de jour grâce à la verrière, et une jolie mise en valeur le soir venu grâce à la composition de sources d'éclairages douces et variées. Non, vraiment, pour le décor, rien à dire.
Côté assiette, la carte est courte, plutôt synonyme de qualité et de fraîcheur habituellement, mais je dirais presque trop courte. Pour peu qu'on n'aime pas forcément tout, et/ou qu'on ait des intolérances ou des interdits, le choix se restreint vite, entre les 4 entrées, 4 plats et 3 desserts.
Mes choix (cabillaud infusé au gingembre // fraises et rhubarbe aux miettes de crumble et glace pistache) étaient certes très bons, mais assez peu copieux, et la corbeille de pain a fini de combler les creux de mon estomac.
L'addition, elle, en revanche, est bien là, présente et au garde à vous ! 40 € par personne pour un plat, un dessert et un soft (tablée de filles très raisonnables ce soir-là...), j'ai vu nettement mieux en rapport qualité/prix.
Autre gros bémol à mon goût, le service un peu inégal, avec un personnel parfois brusque et pressant, même si le maître d'hôtel sait plutôt raccommoder les choses. Bref, contente d'avoir testé, mais ne figurera pas sur mes incontournables du moment.
Les Chouettes, 32 rue de Picardie, 75003 Paris.

* L'INSTANT CULTURE *

open space

"Open Space". Vous en avez peut-être entendu parler, c'est l'un des cartons de l'année au théâtre, qui revient pour quelques représentations exceptionnelles jusqu'à fin juin. Le pitch ? Zéro parole. Ah ouais, pour du théâtre, ça pourrait affoler, je le reconnais. Mais non, tout se joue en mimes, en suggestions, et en gromeuleu (cette espèce de langage marmonné qui ne veut rien dire, mais fait comprendre tellement de choses pourtant). La mise en scène impeccable de Mathilda May rythme les 90 minutes de spectacle durant lesquelles 7 acteurs tout très talentueux campent leur caricature de personnage à la perfection : le beau gosse roi du poulailler, le senior que tout le monde ignore, la working girl aguicheuse tout en talons, le boss oreillette visée sur le crâne...
Une ribambelle de jolis effets scénaristiques, des danses rythmées, du slow motion, de l'avance rapide, des effets presque spéciaux... tout y passe de façon inventive et surprenante, pour nous conter une journée plus ou moins ordinaire de la vie d'un open space classique, avec ses bruits de téléphone, de photocopieuse et de machine à café.
J'ai eu un moment de doute après le premier quart d'heure, persuadée que le procédé ne m'amuserait pas plus longtemps, mais finalement, on se laisse très vite et facilement prendre au jeu, et plonger dans cette histoire sans mots, mais tellement riche de tout le reste. Courez-y vite, il ne reste pas beaucoup de dates !
Open Space, jusqu'au 28 juin, au Théâtre de Paris.

* L'INSTANT "VIS MA VIE DE PARENT" *
Tout le monde ne pourra sans doute pas comprendre le Lol de feu que ces 2 comptes Instagram représentent, mais ceux qui savent... savent.
Averageparentproblems regroupe des situations bien connues des parents, illustrées par les photos de divers auteurs piochées sur le réseau Instagram.
Morceaux choisis :

AverageParents

Insta2yearold choisit lui la vision de la vie par une enfant de 2 ans, avec ses réflexions imaginées. A lire avec les légendes, que je retranscris ici pour un petit best-of :

Insta2yearold
1- Soit j'hallucine, soit mes parents viennent de m'acheter un lit dont je peux descendre toute seule. Ils vont le regretter...
2- Ayéééé, j'ai fini ma pomme, maman !
3- J'ai demandé un Mickey, et j'ai eu ça. Je pense que papa doit tous nous emmener à Dysneyland pour réviser ses références.
4- Le moment que je préfère avec la pâte à modeler, c'est quand je demande à maman de séparer toutes les couleurs quand j'ai fini de jouer...

Allez, c'est tout pour le moment. Je ne promets pas de "revenir très vite" (you know what I mean...) mais je vais essayer de faire un petit effort...
Bonne semaine à tous ! 

31 juillet 2013

Est-ce que tu pars pour les vacances ?

vacances

Aaaaah, 31 juillet. Bientôt la quille loin de Paris. Je ne pouvais décemment pas partir en vacances sans faire un dernier coucou sur ce blog (ni laisser en billet d'accueil un article sponsorisé).
Premières vacances à trois, avec Chéribibi et ma croquette. Enfin... à trois... plutôt à onze, puisqu'on rejoint des amis avec enfants/bébé pour encore plus de rigolades, de rires d'enfants... et de risques de réveils nocturnes. Oui, si en temps normal, partir avec des copains relève souvent d'un grand défi (pour preuve, ce vieux billet qui, déjà, donnait le ton), partir avec des copains ET des enfants, c'est presque maso comme démarche. Mais qu'importe, on a choisi, on l'a voulu, et tant pis si au final, les souvenirs ne ressemblent pas à une pub Ricoré.

Au programme cette année, point de grande traversée Atlantiquesque (gné ?) ou de périple par monts et par vaux. Les heureux parents le savent, partir avec un babychou implique de trimballer avec soi tout un bataclan lééééééégèrement encombrant. Poussette, lit parapluie, transat, s!ège auto, biberons, joujoux, veilleuse et panoplie de fringues pour-s'il-fait froid, pour s'il-fait-moins-froid, pour si-c'est-canicule... Ce sera donc destination Bretagne, puis Charentes. Un peu de route à faire, mais c'est réglé, j'ai loué la caravane, on est bon.

Histoire d'en rajouter un peu niveau poids lourd, j'embarque également dans ma valise à moi :

* mon nouveau maillot* trop beau (ca ne se voit pas sur la photo mais il scintille gaiement, c'est pour mieux éblouir et faire oublier les petits kilos en trop accrochés ça et là)
* les premières crèmes solaires** de Babygirl (je sens que ça va être une vraie partie de plaisir de la tartiner de la tête aux pieds, quand je vois déjà comment ça se passe pour lui nettoyer les oreilles)
* une pile de bouquins (dont je ne lirai évidemment qu'un ou deux exemplaires maxi, mais au moins, j'aurai le choix) dont je ferai une chronique à la rentrée (une petite touche culture ne fera pas de mal à ce blog !)
* ... et mon code de la route, histoire de réviser un peu (parce que même si j'ai mon permis depuis des lustres, les quelques heures de conduite reprises dernièrement me font penser que... bon... revoir tout du début, ça ne serait pas un luxe)

Je débranche donc virtuellement ce blog pour trois grosses semaines minimum, et vous retrouve fin août, tous nus et tout bronzés ! (comment ça, non ?)
Et entre temps, je reste un peu présente sur mes réseaux sociaux favoris, Facebook et Instagram :)

Bel été à tous !

* Princesse Tamtam  **Merci à Mustela pour la découverte

6 septembre 2015

Jamais 3 sans 4

chaussures bis

La belle échappée... Voilà plusieurs semaines (trop ?) que j'ai laissé (à nouveau) ce blog en friche, au profit de la "vraie vie". Oui, mais j'ai une bonne excuse, votre Honneur. Une excuse qui commence à s'arrondir vraiment beaucoup, pour tout dire...

Car ça y est, nous y sommes. Juste à ce moment précis où le petit équilibre de la vie de famille à trois qu'on a mis du temps à établir respire ses derniers instants, avant de laisser place à un nouveau chamboulement titanesque. En novembre prochain déboulera dans notre cocon une nouvelle petite chouquette prête à être croquée d'amour. Babygirl bientôt promue "grande soeur," et Chéribibi fier patriarche de son harem familial.

Certains nous disent "il était temps !", d'autres "si tôt ? vous n'avez pas peur !"... et la grande majorité des déjà-parents-au-carré s'accordent sur un regard mi-moqueur mi-amusé, avec cet air de dire "bon, bah... bon courage pour ces trois prochaines années, les gars".

Je sais déjà qu'il nous en attend des vertes et des pas mûres, que les mots sommeil, sorties resto, ou temps pour soi vont rejoindre le panthéon des concepts désormais oubliés tels que grasse matinée, appartement rangé, week-end improvisé et lecture peinarde sur la plage, et que la vie de couple elle-même va être soumise à rude épreuve dans le tsunami de la double-parentalité.

Mais je suis déjà prête à attaquer cette nouvelle page : les blouses liberty et les gigoteuses minipouce attendent sagement le début de leur seconde vie, la "chambre des filles" va subir quelques aménagements, et Croquette est subtilement briefée sur le futur rôle qui lui incombe (les mots "partage de jouets" semblent encore un peu flou, mais on y travaille).

Cette deuxième parenthèse de neuf mois dans ma vie de femme me fascine autant qu'elle me fatigue : on dit que le corps se souvient, et qu'il retrouve vite ses marques lorsqu'un second bébé pointe son nez. C'est vrai. Ventre plus gros, plus lourd, plus vite. Dos en compote, jambes en coton. Teint de papier mâché pour cause de nuits saccadées. Ah, laissez-moi vous dire que le mythe de la femme enceinte belle, radieuse et épanouie, c'est la porte à côté, pas chez moi.

Encore quelques semaines à tenir. Deux petits mois et demi, avant de replonger dans les nuits blanches et les couches marron, les biberons 3 vitesses et les vomitos sur l'épaule... les chaussettes taille 2, les gouzi-gouzi yeux dans les yeux, les petits doigts qui agrippent fermement les plus gros.
Oui, encore quelques semaines, et bientôt, cette impression de former, enfin, la parfaite petite famille à quatre que j'ai toujours voulue et imaginée...

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12 novembre 2010

Anti-rides, petit prix, maousse costaud (Concours L'Oréal inside)

revitaliftArticle sponsorisé

Hep pssstt, les filles... Vous vous en souvenez peut-être, je vous racontais il y a quelques temps que ma mère avait été rudement bien inspirée de s'abonner très tôt à l'emploi du L'Oréal Revitalift visage et cou en tant qu'anti ride quotidien, vu que celui-ci a été récemment reconnu comme l'un des meilleurs produits de sa catégorie, à la fois en terme d'efficacité et de rapport qualité-prix.

Si ça vous tente, vous aller pouvoir l'imiter et commencer, comme elle, votre cure de jeunesse, puisque j'ai
3 pots de Revitalift Visage et Cou à vous faire gagner ici. (Je vous dis ça comme ça, en passant, mais vous devriez tenter le coup, ma mère ne fait vraiiiiiiiiment pas son âge !) (Quoi ? Comment ça, je ne suis pas objective ? Ohhh, ca va hein, aussi...).

Puisqu'apparemment il vous faut des données scientifiques, en voici quelques unes qui devraient vous motiver un poil :

- Un soin n°1 en France, plébiscité par des millions de consommatrices (dont ma mère, donc. J'vous ai déjà parlé de ma mère ?)
- Le 1er soin "remaillant" contour et cou, qui ne laisse pas le temps alourdir les traits. Un résultat visible dès 4 semaines.
- Une formule alliant 2 fois plus d'Elastine que le soin de jour initial de la gamme, de la Vitafibrine, et du Pro-Rétinol A, tous puissants actifs contre les rides et la distension de la peau.
- Un prix tout petit-mini-riquiqui : moins de 12 euros le pot.

Pour 3 d'entres vous, le nirvana anti-rides n'est pas loin. Postez-moi dans les commentaires une petite anecdote en rapport avec vos premières rides, ou votre rituel beauté pour lutter contre elles. Je choisirai les trois personnes qui m'auront le plus interpellée, fait rire ou sourire. Et hop... elles recevront direct dans leur boîte aux lettres un exemplaire du nouveau
L'Oréal Revitalift. Magique, non ? Allez, à vos claviers ! Bonne chance à toutes !

24 février 2013

Kitchen Invaders

 invader_blog

Petit clin d'oeil déco pour l'article du jour. Si toi aussi, tu t'ennuies les dimanches après-midi froids et neigeux, j'ai l'idée qu'il te faut pour t'occuper environ quinze minutes. (C'est déjà ça de pris). Et par la même occasion, donner un petit coup de pep's "urban style" à ton interieur douillet.

J'ai trouvé ces petites pochettes stickers "Invaders" dans une boutique-caverne-d'Alibaba, et j'ai sauté sur les modèles rouge et noir qui s'accorderaient parfaitement avec la déco de ma cuisine, aux placards rouge vif et stores gris anthracite. (Je sais, je suis trop fofolle parfois).

invaders1

invaders3     invaders4

Ce week-end, zou, passage à l'action :

// Dégraissage du mur, histoire que les stickers collent bien (et tiennent plus de 4 jours, si possible).

// Gros calcul savant pour positionner le tout premier sticker.

// Concentration et langue tirée pour coller tous les autres à peu près régulièrement.

// Admiration du résultat.

Tadaaaaaaammmmm... !!! Ma cuisine adopte désormais un look urbain digne des grandes villes du monde redécorées par l'artiste Invader.

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invaders6

Comment ça, "c'est pas posé très droit tout ça madame !" ? Heu... c'est fait ex-eu-près, d'accord ? Bon.


Pas encore décidé où je vais poser le sticker noir. Peut-être sur le miroir de l'entrée... ? On verra ça dimanche prochain. S'il neige !

Stickers Stikaz, environ 6 euros, trouvés chez La Minaudière, 43, rue de la Folie-Méricourt, Paris 11.

 

17 octobre 2011

Un peu d'Essie, beaucoup d'effet

Essie Vernis Cocktail bling

Essie c'était vrai ? Hé bien oui, Essie, la marque de vernis star aux Etats-Unis, débarque enfin en France et envahit les rayons beauté des Monoprix dès ce mois d'octobre. Yihaaaaa ! Trépignages de joie et confettis ! (il m'en faut peu, je sais...)

Que je vous explique deux minutes. Vous l'aurez peut-être compris vu que j'en parle de plus en plus sur ce blog, mais je suis devenue en quelques mois folle de vernis, parce que j'ai enfin compris que grâce à une belle couleur sur mes ongles, je ne les grignottais plus à longueur de temps. Avouez qu'à trente ans bien tassés, ça la fiche mal d'avoir des petites Knackis en guise de doigt, et honte de montrer ses mains !
J'ai donc résolu mon problème, et j'affiche désormais une sacré collection de vernis de toutes les couleurs, ce qui fait un peu halluciner Chéribibi d'ailleurs. Impossible de lui faire comprendre les subtlilités entre, par exemple, grenat, vermillon, carmin, magenta, cerise... Lui : "oui, bah c'est rouge, quoi !" (pffff, il y connait rien, j'vous jure !). L'achat vernis, c'est la petite friandise que j'ajoute dans mon panier quand je fais mes courses, pour me faire un plaisir à moindre coût.

Essie arrive donc sur le marché français, fort de son expérience tout terrain aux USA, pays de la manucure quasi-obligatoire. Pourtant, la marque a réadapté sa formule pour mieux coller aux habitudes des françaises et propose donc, en VF, une texture séchage rapide (plus besoin de rester les doigts en éventail pendant des lustres), et surtout, un pinceau plus large, qui permet de recouvrir d'un seul coup toute la surface de l'ongle. Impossible de se louper, même pour les plus quiches d'entre nous (et dieu sait que je pars de loin dans ce domaine). Niveau résistance, je suis assez conquise aussi, puisque la couleur résiste facilement 5 jours non stop sans éclat fatal (au delà, j'enlève pour essayer une autre couleur, donc je n'ai pas testé).

En plus des 96 teintes lancées (arrrgggg, je les veux toutes, achevez-moi je vous dis !), voici en exclusivité mondiale de l'internet du web blogosphérien la collection spéciale hiver 2011/12, sobrement baptisée Cocktail Bling (un hommage à quelqu'un en particulier, peut-être ?). Six teintes automnales aux couleurs de pierres précieuses, pour des mains bijoux tout choux.

Cocktail Bling
Bangle Jangle

School of Hard Rocks
Size Matters
Bobbing for Baubles
Brooch the Subject

(Sur les photos : la collection Cocktail Bling / School of Hard Rocks / Lovie Dovie)

Essie, chez Monoprix, 11,90 € le flacon (aïe, peux pas les acheter tous, c'est certain !)
Collection Cocktail Bling disponible à partir de Novembre 2011.
Plus d'infos : www.essie.fr  //  Page Facebook

27 février 2013

Une nouvelle Seat toute Mii-Mii (Article sponsorisé)

Seat_Mii

Quand j'étais plus jeune (hier, donc), je regardais régulièrement la série "Sous le soleil" (oh, ca va, j'étais JEUNE, on a dit) et je m'étais auto-persuadée que j'aurai plus tard (quand je serai grande donc) le même type de voiture que l'héroïne Laure Olivier, qui conduit une ravissante petite décapotable bleu marine. Allez comprendre ma fascination pour cette voiture, moi qui n'avait alors même pas le permis, et qui, en bonne parisienne, devrait bien savoir qu'une voiture décapotable à Paris, bon... c'est pas pour tous les jours.

Ce souvenir m'est revenu d'un coup quand on m'a envoyé le communiqué de presse de la nouvelle Seat, baptisée @Mii. Une nouvelle petite voiture citadine "prête à conduire" facile pour la ville. Et... dont le coloris phare est le (je vous le donne en mille, Emile) "blue night" (autrement dit, bleu nuit) (je suis carrément bilingue). 

Alors certes, ce n'est peut-être pas le même modèle que celui de Laure Olivier (déjà, elle fait pas toit ouvrant) mais je dois dire qu'elle est plutôt mignonne, la bougresse, dans le genre petite voiture de ville ultra féminine, non ? (et on a déjà parlé du toit ouvrant à Paris, suivez, s'il vous plait !)

Mii_1

Mii_2     Mii_3

J'aime, entre autres :

* Rétros blancs et planche de bord assortie : on reste classe et féminine.
* Ecran couleur tactile (navigation, ordinateur de bord, interface multimédia) : la Police ne pourra pas nous reprocher de pianoter sur un écran cette fois !
* Air conditionné : pas besoin de toit ouvrant !
* Radio CD MP3 6 hauts-parleurs : pour chanter à tue-tête dans les bouchons quotidiens.
* Boîte manuelle ou automatique : (tu m'as déjà vue faire un créneau ?)

Bon, Hé bien reste plus qu'à passer le permis ! (En vrai, j'ai déjà le permis - mais si, souvenez-vous... - mais on peut globalement dire que c'est comme si je ne l'avais pas...)


Seat @Mii, disponible à partir de 9 390 euros. Plus d'informations sur le site de la marque seat.fr

Billet sponsorisé Seat via Glam Media. Les opinions exprimées ici sont celles de l'auteur, et ne reflètent pas les opinions ou les positions de Seat.

17 mai 2010

Coup de coeur pour... Virginie Castaway

Capture_d__cran_2010_05_16___17Parce que je manque cruellement de temps en ce moment...
Mais parce que je ne veux pas vous laisser en rade trop longtemps non plus...
Le billet du jour sera essentiellement composé de photos de look. Et même pas prises par moi, ni sur moi ! (Ooouhh, la glandeuse !)

J'ai découvert Virginie Castaway un peu par hasard, en croisant tous les matins le showroom de la marque sur mon trajet maison-boulot. De mémoire, j'avais bien aperçu ça et là quelques accessoires de la créatrice, mais n'avais pas poussé ma curiosité plus loin. Les vitrines devant lesquelles je passais régulièrement ont eu raison de moi...

Je crois qu'on appelle ça un coup de coeur. Un vrai de vrai. Pour une marque à la fois rock et romantique, épurée mais saupoudrée de petits détails qui font toute la différence. C'est bien simple, j'aime tout. Et si mon banquier ne menaçait pas de tambouriner à la porte pour cause d'abus de CB, l'intégralité de ma penderie ressemblerait à ça :

VC_blouse

VC_combi

VC_pantalon_imprim_

VC_pantalon_liberty

VC_robe__crue

VC_short_liberty

VC_tunique_courte

Aaaaarrhhhhhhh ! (cri de la fashionista à l'agonie devant tant de coups de coeur simultanés...)

Et vous, vous aimez ?

Plus d'infos : www.virginiecastaway.com

27 septembre 2010

Foursquare, for what ?

facebookAu début, il y a eu Facebook. C'était nouveau, c'était "révolutionnaire", et on a tous (ou presque) sauté à pieds joints dedans, pour partager nos photos de trek en Argentine, vérifier les profils de nos ex ou s'assurer que la bombasse de nos années lycée était bien devenue une mère de famille quelconque (c'est à dire cernée et le cheveu en berne) et qu'il y avait une justice. (Je ne vise personne en particulier).

twitterEnsuite, il y a eu l'effet Twitter, ces petits messages courts à effet SMS, envoyés à la totalité de son carnet d'adresses en un clin d'œil. Comme il était passionnant et rassurant de pouvoir clamer à la face du monde que "J'ai trop bien réussi mon risotto cette fois", que "Oui, il pleut. Je le sais, je suis dessous", ou de commenter en direct live les rebondissements in-cro-yables de Koh Lanta ou de Masterchef, et de recevoir dans le même temps toute une flopée de réponses d'"amis" regardant le même programme, au même moment. L'impression de faire partie d'une bande, virtuelle certes, mais gigantesque, c'est quand même super trippant, apparemment. (Ahem).

foursquareEt puis récemment est arrivé le petit dernier, supposé faire fureur chez tous nos amis geek et branchés nouvelles technologies, j'ai nommé FourSquare. Koitesse, dit-elle ? Foursquare, pour les bienheureux qui ignorent encore tout de ce truc débile, c'est une application qui permet de révéler à qui veut l'entendre toute l'étendue de sa vie passionnante, minute par minute. Un adepte de Foursquare dégaine son téléphone dans tous les endroits où il se trouve, pour "checker", c'est à dire valider sa présence sur le lieu. En gros, il indique donc à tout son entourage que là, "il achète son pain à la boulangerie Mie & Croutons", que là, "il prend le métro à République", qu'à 14h, il était "au McDo de Châtelet-les-Halles", et que là tout de suite, il se rend "chez Décathlon Place d'Italie". Su-père.
Pour rendre ce système encore plus neu-neu, chaque Foursquareur se bat pour devenir "Maire" des différents lieux où il se rend, car plus il "checke dans ses endroits et plus il y gagne de l'importance. Celui qui réussit à valider sa présence le plus de fois en un laps de temps donné est donc élu Maire.

So what, j'ai envie de dire. Aujourd'hui, la page Facebook de la plupart de mes amis adeptes de Foursquare ressemble à un itinéraire GPS. Ha ha ha, rirai-je bien fort. Ce petit jeu crétin me fait hurler de rire (jaune) quand je repense aux levers de boucliers d'il n'y a pas si longtemps, quand la RATP a voulu systématiser le pass Navigo (qui enregistre de façon électronique tous les déplacements des usagers sur le réseau ferré), ou quand le gouvernement a évoqué ce fameux fichier Edwige, dans lequel est consignée une tripotée de renseignements personnels sur tout individu lambda.

"Ouais, c'est l'état policier", "ouais, personne n'a à savoir ce que je fais, où je vais, comment et à quelle heure", "ouais, bientôt, on nous greffera des puces pour nous traquer"... que ça braillait bien fort dans les rangs, bras levés au ciel en signe de rebelle-attitude.
Aujourd'hui, ce n'est même plus à l'insu de son plein gré que l'on renseigne consciencieusement toutes les cases permettant de retracer à la minute près la journée de untel ou untel. J'en reste coite. Et un peu énervée aussi, on l'aura compris.

Chéri, tu pourras rapporter du pain en rentrant à la maison ? Ah ne mens pas, je sais que tu es près de la boulangerie, tu l'as dit sur Foursquare. Hin hin.


EDIT : Anne-So n'en démord pas : FourSquare, c'est d'la balle ! (Enfin, elle explique ça beaucoup mieux, avec ses jolis mots à elle : c'est ici).

9 novembre 2011

Les chaussettes de l'archiduchesse

Chaussettes contention douce

Oui, forcément, avec un titre pareil, ne vous attendez quand même pas à ce qu'on parle remaniement des finances et écosystème précaire ici. Aujourd'hui, au programme, c'est chaussettes ! Carrément. (Ce blog me tuera...)

Si vous êtes comme moi, et comme à peu près 80 % de la population féminine, vous avez des petits problèmes de circulation sanguine. Hérédité (merci papa, merci maman), faute à pas de chance, abus de soleil et de bains chauds... peu importe les raisons, les faits sont là : gros poteaux à la place des gambettes dès que la température frôle les 25°, douleurs ou sensations de lourdeur puissance dix, et impression de légèreté réduite à néant (mais ça, c'est peut-être aussi l'abus de Kinder Bueno, remarquez...).

Si vous êtes comme moi (BIS), et comme à peu près 80 % de la population féminine, vous portez l'hiver beaucoup de bottes hautes, de jeans un peu slim sur les mollets, voire, HORREUR, les deux en même temps. Erreur fatale, mes jolies ! Rien de pire que de garder les jambes engoncées dans des vêtements serrés à longueur de journée.

Si en plus vous passez votre temps debout à piétiner, ou assise à croiser les jambes, j'ai envie de dire que vous le faites exprès. M'enfin je ne vous jette pas la pierre-Pierre, je viens précisemment de décrire mon propre comportement.

Si vous êtes comme moi (TER), j'imagine que vous n'avez pas non plus envie de vous coltiner les bas anti-varrice de mémé parfaitement laids. J'en viens donc à ma super solution (oui parce que ce billet a un but, au départ) : les jolies chaussettes de contention. Certes, ce mot "contention" est laid comme un pou, mais il faut bien appeler un chat un chat.

J'ai donc dégotté, au hasard de mes errances sur le net, ces chaussettes assez parfaites pour lutter contre les lois de la gravité de la situation (heu...). Jugez du peu :
* compression légère mais efficace (en gros, on ne sue pas à grosses gouttes pour les enfiler - les personnes ayant déjà porté un collant de contention niveau I me comprendront - mais on sent vraiment l'effet comprimé sur les mollets)
* composition à 55% de coton organique (la planète vous dit merci !)
* lavable en machine et traité antibactérien
* 9 belles couleurs disponibles pour le modèle femme
* modèle non médical (pour ça, il faut voir le phlebologue), mais nettement plus jojo, il faut bien le dire.

Bon, évidemment, à 21 euros la paire de chaussettes, on ne refait pas tout son tiroir de sous-vêtements hein ! (enfin, faites comme vous voulez, mais perso, je préfère partir en vacances cet hiver plutôt que m'acheter douze paires). Je me contente donc d'une paire bleu électrique et d'une gris anthracite. Et je suis ravie, Thérèse, je vous le promets ! A tester dare dare, vous m'en direz des nouvelles !

Plus d'infos ici, sur le site de lapadd.

Billet garanti non sponsorisé, sauf par mes mollets potelés.

6 août 2008

Working girl

working_girl_4Ah non, désolée patron, je ne vais pas pouvoir boucler le dossier Bidon&Co ce soir, j’ai beaucoup trop de choses à faire en urgence. Comme par exemple :

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Colorier mes ongles au Stabilo rose fluo (…finalement, le vernis, ça ne me va pas mal du tout)
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Examiner les fourches de mes cheveux (je sais, faut pas tirer dessus, mais ça m’éclate)
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Me trouver une nouvelle signature (avec par exemple « katia » + « nom du nouvel amoureux », juste pour voir ce que ça donnerait…)
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Suivre l’évolution de mes ventes sur Ebay (et répondre à une douzième question con, du genre « quelle est la mesure du pull en cm, depuis l’aisselle gauche jusqu’au bas du pull à droite ? »)
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Trier mes trombones par couleur (on travaille toujours mieux avec un bureau en ordre, c’est bien connu)
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Cliquer pour la 1487ème fois sur "envoyer/recevoir" (merde… non, pas de mail perso auquel répondre d’urgence en prenant mon air le plus affairé, que je masterise pourtant super bien)
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Vérifier la météo du lendemain (et confirmer mon rendez-vous chez le coiffeur)
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Mettre de côté quelques enveloppes et post-its (je n’en ai plus chez moi)
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Prendre un thé avec Claire, du service "promotion des ventes" (on m’a demandé de "cultiver le relationnel", je cultive)
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Etudier comment aller de Porte de Champerret à Saint-Germain des Prés en faisant le moins de changement possible (ils auraient pu faire une ligne directe, quand même)
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Compter les jours de RTT qu’il me reste à prendre (et faire le point par rapport aux ponts du mois de mai)
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Tenter de me souvenir comment on fait un avion en papier (mais un qui vole vraiment, hein ?)
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Photocopier mes fiches de paies pour mon dossier immobilier (et tant qu’on y est, tous mes papiers et documents officiels, ça peut toujours servir)
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Regarder pousser la plante verte posée sur mon bureau (et arrêter de l’arroser avec mes restes de café du matin)
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Faire un tour sur mes sites et blogs favoris (faut pas perdre la main)
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Retoucher mon maquillage et ma coiffure (au cas où Jérémy, le petit stagiaire du marketing, passerait dans le coin)
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Mettre à jour mon CV (un feeling, comme ça… ça pourrait devenir d’actualité)

Et puis quand j’aurai fini, il sera déjà au moins…. pfffiouuuuu… 18h30 ! L’heure de partir à mon cours de Pilates.
Demain, alors ? Ah non, demain c’est vendredi, j’ai pris ma demi-journée.
Bah demandez à Sonia, je crois qu’elle n’est pas débordée, je l’ai vue en train de se limer les ongles tout à l’heure…

(Article posté le 26 mars 2007).

11 août 2008

Bulles de bruit

bulle_1

Paf. La bulle de chewing-gum vient de lui exploser en pleine tronche. Elle l’a pas volée celle-là ! Ca fait bien quinze minutes qu’elle me mastique son bout de glucose mentholé dans les oreilles et qu’elle tente vainement de faire des petites bulles avec. Franchement, à 8h36 un lundi matin, j’aurais pas pu trouver pire comme spectacle dans mon wagon de métro (enfin si, mais j’aime bien exagérer).
Evidemment, pour une fois que j’ai oublié mon Ipod chez moi, je dois me farcir comme voisine de voyage une réincarnation de vache espagnole, qui rumine consciencieusement depuis une dizaine de stations.
Le spectacle visuel en lui-même serait déjà fascinant : bouche ouverte à chaque mastication, mâchoire qui dérape copieusement vers la gauche, sans doute pour se donner un genre. Vous imaginez la pétasse adolescente revêche qui défie l’autorité maternelle du haut de ses douze ans trois quarts et vous avez l’image de ma petite peste de voyageuse.
Mais la garce a décidé de nous gratifier d’un spectacle « sons et lumières », et nous fait bénéficier de la bande sonore qui va avec le décrochage de mâchoire. De généreux « tchlaaaaaaacccc tchlaaaaacccc » bien sonores viennent donc ponctuer un déjà ô combien délicieux tableau. (oui, je sais, je retranscris assez mal le cri du chewing-gum mastiqué de plein fouet, mais je pense que chacun aura déjà une bonne vision globale du truc. Non ?)

La greluche qui lui sert de copine, et qu’on avait fini par oublier dans un coin du wagon tellement le spectacle nous prenait aux tripes, se met soudain à lui donner des conseils : « naaaan, mais faut que tu pousses avec ta langue, faut pas laisser l’air rentrer, sinon ça pète tout de suite, et la bulle se développe pas ». Mazette, c’est technique, ce truc. La punaise a l’air expérimentée en la matière.
S’en suit un long débat sur les pour et les contre de telle ou telle marque, plus efficace selon l’une pour réaliser de belles bulles. C’est passionnant, vous vous en doutez. Dans un coin de ma tête, je réalise à quelle point j’ai oublié les préoccupations vitales de mes années collège. Enfin au moins, pendant que ça jacasse, ça ne mastique plus. Manque de pot, je n’aurai jamais les détails du test comparatif Hollywood / Malabar / Freedent / Stimorol, j’ai du descendre du wagon avant la conclusion de la réunion de consommatrices…

Tout ça pour dire (parce que je voulais quand même dire un truc intéressant, au départ) que sans vouloir faire ma Nadine de Rothschild, un petit détour par les cases « j’apprends à mâchonner mon chewing-gum autrement qu’en ayant l’air d’une carpe » ou « évitez-moi de faire autant de bruit qu’un troupeau de truies affamées quand je me rafraîchis l’haleine », ce serait pas du luxe pour tout le monde.
Le prochain que j’attrape en train de me ruminer dans les tympans, je lui extirpe son chewing-gum de force et je lui étale dans les cheveux. Y’avait qu’à pas m’énerver, aussi...

(Article posté le 9 Octobre 2006).

11 avril 2010

J'ai descendu dans mon jardin (Clarins, les résultats)

Oyé oyé, gentes damoiselles et damoiseaux. Vous fûtes assez nombreux à participer au petit concours de la semaine permettant de gagner un flacon d'Eau des Jardins, de Clarins. L'heure est maintenant venue de désigner les heureux gagnants.

Pour cela, faisons donc avec les (faibles) moyens du bord. Impossible d'utiliser le truc random-machin chouette comme sur les autres blogs, puisque Canalblog ne numérote pas les commentaires. J'en reviens donc au bon vieux tirage au sort à l'aveugle, avec inscription de chaque pseudo sur un petit papier coloré (hop, je recycle mes papiers Muji à Origami dont je ne me sers jamais). Je fourre le tout dans un chapeau, et j'attends patiemment l'aide juridique de Maître Chat, huissier de justice à Shéba-les-bains, qui n'a franchement pas l'air ravi de bosser le dimanche.

ma_tre_chat
Pfff, qu'elle est lourde, celle-là, à me faire de grands gestes avec son appareil photo à la main...


Plusieurs minutes après s'écoulent, et Maître Chat a péniblement fait tomber du chapeau un seul petit papier, à grands renforts de "mais allez, joue... joue avec les papiers, minou... allezzzzzzz". Lasse, je finis par choisir moi-même les deux autres gagnants du concours (je vous aime bien, mais je ne compte pas passer la nuit sur ce truc, quand même).

Verdict : Mlle V., Pocahontas, et Ecologirl, vous êtes les heureuses gagnantes d'un flacon d'Eau des Jardins. Envoyez-moi vos coordonnées postales par mail, pour que je puisse transmettre à l'équipe Clarins, s'il vous plait !
Pour tous les autres commentateurs, merci d'avoir joué, merci d'avoir participé activement en nous racontant vos petites anecdotes sur le parfum et les odeurs, j'ai adoré vous lire ! Et... Stay tuned, mon petit doigt me dit qu'on trouvera sans doute d'autres jolies choses à gagner par ici prochainement ... Bonne fin de dimanche à tous !

verdict

5 mars 2012

Comme avant dans mes rêves d'enfant

les maisons de dame souris

S'il fallait une preuve que les blogs peuvent encore apporter de belles surprises, au delà de leur aspect parfois un peu trop commercial et publicitaire, en voici une :

Il y a presque six ans de ça, alors que je commençais tout juste à écrire ici (pfouuu, on n'est pas tout jeunes, mes amis, c'est moi qui vous le dit), je lançais une bouteille à la mer pour tenter de retrouver un livre de mon enfance qui m'était cher, mais qui avait fini par disparaître, de déménagement en tri intensif, faute de place dans la bibliothèque. Apparemment, je n'étais pas la seule à avoir la nostalgie de ce livre et à avoir été marquée par les histoires de cette souris architecte (je crois que ma vocation râtée vient de là, en fait), si j'en crois les nombreux commentaires et mails que j'ai reçus, régulièrement, depuis la publication de cet article.

Beaucoup m'ont écrit avoir de beaux souvenirs de cet ouvrage introuvable, certaines personnes qui avaient un exemplaire en ont même scanné les pages pour les partager avec tous ces lecteurs frustrés du passé. Un ami virtuel de l'époque avait d'ailleurs fini par remettre la main sur la version anglaise de la chose, sans pour autant parvenir, malgré les recherches, à retrouver un exemplaire de MA version d'enfance, en français dans le texte. Dame Souris s'était bel et bien fait la malle, et la maison d'édition n'avait pas du tout l'intention de rééditer l'ouvrage.

Et puis un jour de janvier dernier, je reçois ce mail, qui me dit en substance :
"Bonjour, je suis bouquiniste à (petit village de l'Aude) et j'ai actuellement en stock le livre que vous semblez chercher. Je peux vous l'envoyer si vous êtes intéressée".
Bah tu m'étonnes Elton, que je suis intéressée ! Depuis le temps ! Ni une, ni deux, je réponds au message, et l'affaire est entendue.

Quelques jours plus tard arrivait par la Poste mon cher et précieux livre. Bien sûr, la nostalgie engrangée durant toutes ces années avait embelli ce livre, peut-être plus qu'il ne le méritait. Sans doute, la frustration de ne pas pouvoir le feuilleter pendant si longtemps m'avait fait oublier que mes goûts d'enfant n'étaient plus mes goûts d'aujourd'hui. Et pourtant, malgré ces infimes déceptions, tourner les pages de Dame Souris et revoir toutes ces illustrations qui ont marqué ma jeunesse m'a presque tiré quelques larmes (presque, j'ai dit) (rhhhoooo).

Ce livre-là restera, vous pouvez en être certains, en lieu sûr dans ma bibliothèque d'adulte, attendant patiemment que mes propres enfants soient en âge de le lire et - qui sait - de l'apprécier à leur tour. Et il rejoint la petite liste des objets précieusement conservés, qui me fera un jour radoter sur le ton du "tu sais, quand maman avait ton âge...".

14 octobre 2011

Bion, à fond la forme ! (article sponsorisé)

Bion AdultesArticle sponsorisé

A chaque changement de saison, c’est la même chose : petite forme, ongles et cheveux en berne, irritabilité, « choppage » de tous les microbes qui passent à proximité. Tenez, depuis la rentrée de septembre, j’affiche déjà un rhume et une bronchite à mon palmarès, malgré le bel été indien que nous avons eu à Paris. Ma grand-mère conseillait, pour lutter contre les petits maux de l’hiver, l’absorption de gelée royale ou de propolisMouis, je veux bien, mais le premier est franchement pas jojo niveau goût, et le second a un nom trop bizarre pour que j’ai pleinement confiance.

Moi, je veux un remède simple, rapide, pratique et qui ne me demande pas de courir 34 boutiques bio pour être acheté. Quand Bion m’a envoyé son petit dernier, Bion 3 Adultes, j’ai creusé la question.  Il s’agit d’une association exclusive de 7 minéraux, 12 vitamines et 3 probiotiques (pro-bio quoi ?) supposés préparer l’organisme à mieux lutter en boostant les défenses immunitaires.  Une sorte de bon bouclier contres les vilaines grippes qui trainent et les gastros que veulent nous refiler tous les collègues (si, si, je les connais !)

Les probiotiques sont en fait des micro-organismes bons pour la santé, qui agissent essentiellement sur la flore intestinale et le système digestif. Bon, allons y mollo, on n’est pas là non plus pour parler franchement caca, mais disons que quand les choses se passent bien sur ce plan-là, c’est généralement bon signe pour tout le reste. (Rhooo, le sujet, mazette…).

C’était facile, c’était rapide, je me suis dit banco cocotte, et j’ai testé la cure complète de 30 jours. Rien de plus fastoche : un comprimé chaque matin, avalé avec mon verre de jus d’orange, et roulez jeunesse.

« Alors, au bout du compte, quelle efficacité ? » me demandez-vous en chœur. Difficile de juger de façon nette, car mon vilain rhume a un peu perturbé le test en début de parcours. Cela dit, je me trouve malgré tout une bonne forme physique générale, en dépit de nuits très (trop ?) courtes. Pas d’envie de sieste après le déjeuner, pas de crashage sur le canapé en mode mollusque au retour du bureau.  Hasard ou coïncidence, je n’en sais rien, mais en tout cas, c’est plutôt plaisant.

Ca tombe bien, notez, car je partais de loin, si j’en crois mon bilan « Quotient Vitalité » réalisé sur le site de la marque. A priori,  avant de démarrer le test, je me mettais une note de 60/100, histoire de ne pas la jouer trop sûre de moi (je ne suis décemment PAS une fille qui courrait le marathon de Paris tous les jours, déconnez pas). Et 14 questions plus tard, BAM : mon vrai QV n’est que de 55/100.

Bion Adulte Quotien VItalité

Il y a donc encore du boulot en perspective pour retrouver la forme, et une seconde petite cure ne serait pas de refus.

Et vous, tentés ? J’ai une boîte de Bion 3 Adultes à vous faire tester (oui, une seule… c’est mieux que rien). Pour participer, racontez-moi en commentaire vos petites astuces pour lutter contre les maux de l’hiver. Et/ou partagez votre score au test du Quotient Vitalité. Allez, chiche, on fait la course ? Et sans tricher, hein ! ;-)

Plus d’infos : www.bion.fr

Les produits Bion® sont des compléments alimentaires. Ils ne se substituent pas à une alimentation variée et équilibrée ni à un mode de vie sain. www.mangerbouger.fr
 
EDIT : TIrage au sort effectué, la gagnante est mentionnée dans les commentaires (et pardon pour les délais d'annonce !).

17 juin 2012

Guess who ?

Guess Watch

Article sponsorisé

Am I the one to watch ? Hmmm, grosse question existencielle, non ? Ce serait super prétentieux de répondre oui, et vous me connaissez, ce n'est pas trop mon genre. Pourtant, j'ai accepté de me lancer dans la course du concours One to Watch proposé par les Guess Montres.

La marque a mis sur pied un grand concours international entre blogueurs avertis en matière de mode, tendances, air du temps, destinations... Sur ce blog, chaque participant partage sa propre vision du style, sans contrainte ni taboo, et au delà des clichés éculés de "ce qui est à la mode" ou de "ce qui est has been". Toujours à la recherche de nouveaux contributeurs, Guess Watch a donc lancé la chasse aux One to Watch dans différents pays, et j'ai l'honneur de faire partie des presque élus pour la France.

Pourquoi "presque" ? Parce que pour arriver au bout de la course, il va falloir se battre. Se battre, avec l'aide de toute sa communauté, à grands coups de cahiers de tendances, de vision unique ou universelle de la mode, de style de vie à partager (voyages, photos, dessins...).

Honnêtement, la compétition s'annonce rude, car les autres blogs ont, pour certains, une sacrée belle communauté de lecteurs/followers/fans qui seraient prêts à les suivre jusqu'au bout du monde. Mais, si je n'ai pas trop d'illusion quant à l'issue du classement, j'ai quand même un orgueil et un ego qui me chuchottent à l'oreille qu'on ne va sûrement pas rester là à regarder les bras croisés, et qu'on va quand même jouer le jeu, pour la beauté du geste, le fun et le partage. Et puis, comme disait mémé Simone, l'important n'est-il pas de participer ? Si. (bon, vous voyez, on est tous d'accord).

Via une application Facebook dédiée au concours, je me suis inscrite et j'ai créé, comme demandé, ma toute première planche tendances (ça m'a rappelé mes stages en agence de pub où on devait faire des "mood boards" pour toutes les réunions clients. Ah ça, j'en ai usé, des magazines et de la colle en bombe !). ici, c'est plus simple : on choisit dans la banque d'image les visuels qui nous ressemblent et représentent le plus, et roulez roulez petits bolides, voici au bout du compte une planche qui représente ma (ou plutôt l'une de mes) vision(s) du style.

Planche tendance Guess Watch


J'ai instinctivement choisi surtout des formes douces et rondes, féminines et rassurantes. Parce que le contexte actuel est ce qu'il est, j'ai eu envie (et besoin) de quelque chose de doux et de maternel, qui n'appelle aucune agressivité, stress ou aigreur. Et les touches de couleurs pop et pepsy sont bien là pour réveiller le tout et mettre la touche fantaisie indispensable. Un peu à l'instar de la montre Guess que j'ai également reçue en cadeau pour l'occasion. Je l'ai choisie rose pêchu, pour une pointe de gaieté dans mes tenues restées encore bien moroses en ce printemps hivernal triste à souhait.

SI le coeur vous en dit, vous pouvez "liker" ma planche tendances directement sur Facebook, et m'attribuer ainsi des points de style. Le blogueur qui recevra le plus de points à la fin du concours (fin juillet) sera automatiquement qualifié en seconde étape. Mais on en reparlera en temps voulu...

Pour me suivre sur les réseaux sociaux :
Facebook par ici : katia ameur,
Twitter par là : KatiaGinfizz,
Instagram ici : katiaginfizz
et Pinterest là : katiaginfizz
(ouf !).

23 janvier 2012

Le riz dans La Vallée (La Chine s’expose avec Esmod)

Croquis Vallée Village rouge

La Vallée Village, vous connaissez ? Mais siiiii, je vous en avais rapidement parlé là, alors même que je me l’étais jouée Pretty Woman à faire mon shopping en limo Benz ! (on n’a pas des vies faciles tous les jours, nous les blogueuses !).
Bon, pour ceux du fond qui ne suivent pas, en quelques mots, la Vallée Village, c’est un charmant petit ensemble de boutiques de fringues et accessoires proposant toute l’année les collections des années précédentes à prix réduits (Maje, Zadig & Voltaire, Antik Batik, Jimmy Choo… ), à seulement 35 minutes du cœur de Paris.

Oui, mais. Ce n’est pas QUE ça. C’est aussi une galerie d’art nommée l’Espace La Vallée Village, dont la vocation est de permettre à des personnalités du monde de la mode de s’exprimer sur des thèmes variés et de permettre une ouverture culturelle sur ce milieu parfois qualifié de snob. (Si si, snob. T’as qu’à essayer de gratter une place pour un défilé haute couture, tu verras de quoi je parle).

A l’occasion du nouvel an chinois, (pour info, on entre aujourd’hui dans l’année du Dragon, ça pète ou pas ?), l’Espace a choisi cette année de nous présenter une thématique « Entre Mode et Culture », en partenariat avec la prestigieuse école Esmod. Un voyage au pays des rizières mêlant traditions ancestrales et avant-garde fashion. (Un peu comme si on jetait du riz sur une robe de mariée signée Jean-Paul Gaultier ?)(non).

Sont donc exposées depuis le 21 janvier les créations et croquis des étudiants d’Esmod, qui avaient pour mission de concourir en réinterprétant au goût du vingt-et-unième siècle les costumes et tenues ancestrales de la Chine Impériale ou de l’Opéra de Pékin.

Petit avant-goût en photos (et plus d'infos ici) :

Esmod mannequins     Esmod mannequin jaune

Croquis Vallée Village bleu

Croquis Vallée Village rose

Esmod mannequin bleu     Esmod Affiche Vallée Village

 

Un vote des visiteurs et internautes permettra au binôme gagnant de remporter une bourse d’étude offerte par La Vallée Village, et qui sait, de marcher sur les traces de Daniel Hechter ou Eric Bergère, talents issus de l’école de mode.
Et, cerise sur le nem, participation automatique pour les votants au tirage au sort permettant de gagner un voyage pour deux à Macao ! Quel bol, non ?

Exposition « Entre Mode en Culture »,
Du 21 Janvier au 19 février 2012
L’Espace, Vallée Village, Serris (Seine et Marne).


Article sponsorisé

15 mars 2012

Neon lights

Ceinture fluo détail

Dernière fashion-lubie en date : a touch of fluo dans mes tenues encore un brin hivernales. Oui, il faut croire que l'esprit "Véronique & Davina*" n'est pas complètement mort, si j'en crois la tendance qui se faufile peu à peu dans les boutiques de prêt-à-porter. (Au secours ?)

Evidemment, en bon petit mouton que je suis souvent parfois, j'ai sauté à pieds joints dedans, tu penses bien ! Mais connaissant ma laaaaarge propension à changer de fashion-lubie comme de slip, j'ai misé uniquement sur les enseignes un peu cheap, histoire de rester à peu près copine avec le banquier (tu vois pas que je pars en vacances la semaine prochaine, s'agirait pas qu'il me bloque ma Visa, celui-là).

Bilan des courses :
* Des débardeurs bien pétards, qui feront la blague le temps d'une saison (ouh, tu la vois, la p'tite bretelle fluo qui dépasse d'un pull gris un peu large), et qui finiront en tenue de sport d'ici le mois de septembre. Je ne suis pas idiote, je me doute bien que vu le tissu et la coupe du machin, ça sera déjà bien le Pérou si ça résiste à 3 lavages (c'est un peu ce qui m'a retenue de prendre AUSSI le vert et le corail !), mais à moins de 8 euros la chose, bon... si on peut se faire plaisir le temps d'une lubie...

* Des ceintures pour souligner sur mon slim noir ma taille svelte et athlétique (heu ?) d'une touche wawawoum. La première est totalement rose, bien flashy comme je voulais. La seconde, ma foi, elle me fait un peu l'effet d'un Malabar bi-goût, à être moitié jaune, moitié rose. Pour être parfaitement honnête, j'avais pas bien pigé qu'elle aurait cette allure heu... destructurée post-moderne, mais le site de commande étant suffisamment mal fichu pour me filer des explications , j'ai collé la bête dans mon panier, et roulez roulez petits bolides, on verra bien à la réception du colis. (J'ai vu. Merci). (Mais elle me plait quand même, en fait).

Sandales fluo Topshop* Des petites sandalettes que je n'ai pas encore reçues, mais que je colle quand même en photo dans cet article, parce que bon, on va pas causer fluo tous les jours non plus. Là, voyez, j'imagine très bien mes petits petons futurement bronzés glisser leurs orteils manucurés de vernis flashy dedans. Aaaah, j'peux vous dire que ça va réveiller le Levi's brut de pomme, ça !

Telle que je me connais, je suis bien capable d'aller craquer sur encore quelques bricoles phosphorescentes, surtout si on m'en agite sous les nez à chaque vitrine de boutique. Mais comme on a dit qu'on ne parlerait plus fluo ici, vous n'en saurez jamais rien. Et toc !

 

Fluo OK

Fluo détail


Débardeurs Jennyfer // Ceintures Asos // Sandales Topshop



* Je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître...

16 octobre 2012

Paris Paris combien, parie tout ce que tu veux

Paris_Priceless_2

Les parisiens sont râleurs, c'est un fait. Pourtant, dans leur grande majorité, ce sont aussi bien souvent des amoureux notoires de leur belle ville, capables de s'émouvoir de choses finalement simples, mais essentielles à leur bien-être et leur bonheur de citadin.
Moi, parisienne depuis presque toujours, je me surprends parfois à admirer ma ville avec des yeux de touriste, ou à l'inverse, j'aime parvenir à l'apprivoiser comme si je la connaissais par coeur, même si c'est bien entendu très illusoire...

J'aime quand, par exemple :

* Je rentre de voyage, de vacances, et m'imagine à la place d'un étranger qui débarquerait à Paris pour la première fois. Les taxis de l'aéroport qui filent à toute allure, le métro crasseux qui recèle pourtant de jolies stations, les lignes aériennes qui enjambent la Seine et laissent découvrir au détour d'un virage quelques uns des plus beaux monuments au monde. (Oui, je suis un peu chauvine là, je m'en rends bien compte). J'aime imaginer ce que pourrait penser un touriste anglais, japonais ou turc, qui découvre enfin la ville Lumière après l'avoir vue sous toutes les coutures dans les films et sur les cartes postales.

* Les rares fois où je dois me lever à l'aube, j'aime redécouvrir Paris encore endormie aux premiers rayons du soleil. Les rues calmes, les boulangeries qui distillent la bonne odeur du croissant frais, ou le métro qui ne draine pas encore son flot de jeunes cadres dynamiques des heures de pointes. Cliché, certainement, mais dans ces moments, j'aime me sentir parisienne.

* J'aime bien repasser devant l'immeuble où j'ai habité petite. Notre premier logement parisien, sur ce grand boulevard du 11ème arrondissement, qui n'avait à l'époque pas du tout la même connotation bobo qu'aujourd'hui. Regarder "nos" fenêtres, imaginer la nouvelle vie qui se déroule derrière. Est-ce aussi une famille avec trois enfants ? Et le commerçant en bas de l'immeuble, a-t-il changé ? Ah non, il a juste modernisé son enseigne, mais il est toujours là... Nostalgie du temps passé, et en même temps satisfaction du chemin parcouru depuis ces moments-là...

* Malgré mon horreur de prendre le scooter, j'aime rentrer tard le soir en 2-roues en passager arrière, et voir défiler autour de moi la ville et ses lumières. Le jeu continuel des feux tricolores, les enseignes allumées toute la nuit, les phares des voitures, les réverbères des trottoirs... Un spectacle son et lumières que je savoure en silence, murée dans mon casque qui assourdit le bruit autour mais le rend encore plus intense en même temps. Pour un peu, je me croirais presque dans mon propre générique de "Paris Dernière".

* J'aime enfin savoir qu'ici, tout est possible. Musées, théâtres, opéras, vernissages, spectacles de rue, petits concerts dans les bars, nouveaux restaurants... partout, tout le temps, il peut se passer quelque chose. Je n'y participe pas la plupart des jours, bien sûr, mais je sais que la ville est là, autour de moi, bien vivante, bien vibrante, et qu'il n'y aurait qu'à descendre dans la rue pour bousculer un peu mon ordinaire.

...
Pourquoi je vous raconte tout ça ? Non, je n'ai pas respiré trop de parfum de nostalgie ce week-end, ni avalé un paquet entier de madeleines de Proust. Je rebondis juste sur le sujet principal d'une très chouette opération dont j'ai eu envie de vous parler :

"Il y a certaines choses qui ne s'achètent pas...". Ce slogan vous dit certainement quelque chose. Depuis 1999, c'est une partie de la signature de communication de Mastercard, qui capitalise sur ce concept fort pour lancer, en cette fin d'année 2012, un projet de grande envergure à destination des parisiens (ou des amoureux de Paris) : Mon Paris Priceless. Forte d'une longue étude menée auprès de parisiens, la marque a déterminé tout ce qui rend Paris "priceless" aux yeux de ses habitants. A 80%, ceux-ci se déclarent toujours émerveillés par cette ville, et 74% considèrent que l'on y vit plus de moments inestimables, comparé à d'autres villes françaises ou internationales.

Entouré de partenaires prestigieux tels que Le Fooding, l'Opéra National de Paris, le Plaza Athénée, la Salle Pleyel..., Mastercard entame donc dans les prochaines semaines un programme Paris Priceless destiné à faire partager aux participants des instants uniques et privilégiés, leur permettant ainsi de vivre un moment qui n'a pas de prix. Quelques exemples : faire son marché de Noël à Rungis accompagné d'un chef triplement étoilé, découvrir les coulisses du grand Opéra de Paris, jouer à la pelote basque sur un frontis situé au dernier étage d'un somptueux immeuble ayant vue sur le tout Paris, etc.

Si tout se passe comme prévu, j'aurai bientôt la chance de vivre mon petit moment priceless à moi, dont je vous reparlerai ici. Quant à vous, tenez-vous prêts le 14 novembre prochain, car Paris deviendra très spécial lors de ce Priceless Day, avec mille surprises disséminées sur la base du hasard dans les rues (ou ailleurs). Soyez aux aguets pour vous laisser surprendre et savourer un moment qui ne s'achète pas...

(Billet absolument pas sponsorisé, si ce n'est par l'envie de partager une opération de communication qui me plait beaucoup).

12 novembre 2012

Un jour t'iras à NY avec Nikon

NIKON_COOLPIX_BLEU     NIKON_COOLPIX_ROSE

Cinq jours à NY pour mitrailler la Big Apple sous tous les angles, ça vous tente ? (Parce que moi, oui !). Et si, en plus, vous pouvez gagner un appareil photo Nikon à glisser dans vos bagages, alors là... alors là... pourquoi se priver, non ?

Comment-quoi-qu'est-ce ? Very simpeul, my dears : A l'occasion de la commercialisation de deux nouveaux modèles COOLPIX, Nikon propose de vous embarquer à NY grâce à un chouette concours amusant ET hyper simple d'accès. Vous avez trente secondes devant vous ? Bingo, c'est pile le temps qu'il vous faut pour tenter votre chance !

Rendez-vous tout de suite sur le site Nikon COOLPIX. Votre mission, si vous l'acceptez, sera de choisir le/les protagoniste(s) et l'ambiance de VOTRE photo, celle qui sera la plus originale, la plus dynamique, la plus allumée... bref, celle qui vous permettra peut-être de remporter les votes pour gagner le voyage à NY.
Un petit jeu ludique et interactif auquel je me suis prêtée avec plaisir. Voici donc MA photo de mode (naaan, c'est pas moi sur le cliché) qui représenterait bien mon état d'esprit immédiat si toutefois on m'annoncait là, de but en blanc, que youpi yihaaa, c'est moi qui m'envole pour Manhattan !

MY_photo_NIKON_COOLPIX

 
Cela dit, les autres lots ne sont pas trop moches non plus, c'est le moins qu'on puisse dire : une top formation à la Nikon School pour la photo la plus insolite, et l'appareil Nikon COOLPIX de votre choix pour celle qui aura reçu le plus de votes.

Alors, entre le COOLPIX S3300 et le COOLPIX S6300, lequel allez-vous choisir ?
Tentés plutôt par l'ultra portabilité, le zoom optique grand angle x6, et les coloris tous plus pêchus les uns que les autres ?
Ou plutôt par l'expert des basses lumières, le zoom optique grand angle x10, et la vitesse d'obturation plus lente pour une meilleure netteté ?
(Non, non, on ne me répond pas "les deux mon capitaine", il va falloir choi-sir !)

Allez, filez-vite sur le site, et que la meilleure photo gagne ! (je vous préviens, je veux une carte postale de NY, à la fin !)

Plus d'infos : http://jesuiscoolpix.fr

Information :
Billet sponsorisé NIKON via Glam Media. Les opinions exprimées ici sont celles de l'auteur, et ne reflètent pas les opinions ou les positions de NIKON / COOLPIX.

 

18 décembre 2012

Le prénom

Collier_pre_nom

(Non, ce collier n'est pas le mien, thanks God ! Visuel trouvé sur moncollierprenom.com)

Il y a ceux qui se sont mis d'accord depuis des lustres. Il y a ceux qui font des listes, des top 5, et qui se décideront au dernier moment. Et il y a ceux qui ont des goûts et des envies diamétralement opposés, et qui n'ont pas encore tranché la question primoridiale, à 6 semaines (au mieux) de l'accouchement. (Je vous laisse deviner à quelle catégorie on appartient, Chéribibi et moi...)

Choisir un prénom, toute une affaire d'état.

Ces derniers mois, bedon de plus en plus proéminent oblige, il ne se passe pas une semaine sans que quelqu'un ne me demande "et alors, le prénom, vous avez choisi ?". Question légitime mais légèrement pénible en même temps, je dois dire.

Déjà, parce que, sans en faire un secret mieux gardé que les codes nucléaires, il me semblerait à peu près normal de laisser les futurs parents mitonner cette dernière petite surprise pour l'annoncer le jour J dans le sms envoyé avec émotion depuis la maternité.

Ensuite, parce que, vous vous en doutez, j'ai tendance à devenir légèrement crispée sur le sujet, au fur et à mesure que les jours avancent, et que les discussions avec 'el futur padre' tournent autant en rond que les poissons rouges dans leur bocal. J'aime les prénoms plutôt courts, il les préfère longs. J'aime les sonorités affirmées et franches, il préfère les sons doux et niais (pardon) presque enfantins. Autant vous le dire, on n'est pas sorti du bois !

Enfin, parce que dès que le sujet est abordé, la plupart des gens ont souvent des avis très tranchés sur nos choix potentiels, un peu comme s'ils avaient leur mot à dire dans le débat. Combien de :
"Machine ? Ah non, j'aime pas du tout !" (hé ben j'aime pas le nom de tes gosses non plus. Comme ça, on sera quitte !)
"Trucmuche... *grimace sans équivoque*... j'aime pas trop, non..." (et ? donc ? Tu as envie de quoi à la place ? Tu pourras aller le déclarer à la mairie pour nous, aussi ?)
"Ah non, tu peux pas l'appeler Bidule, j'en ai connu trois, c'était que des connes !" (Oui, c'est inscrit dans la génétique, toutes les Bidule sont de sombres connes, mais justement, c'est ça qui nous plaisait, à nous...)
"Y'a véto sur Machinette, c'est le seul prénom que je t'interdis de donner !" (et à part ça, c'est bon, t'es Ok sur le fait que c'est une fille, ou bien on décommande la livraison ? Tu me dis hein...)
"Et sinon moi j'avais pensé à Xxxxx. C'est joli, non, Xxxxx ?" (ouiiiiiiiiii, si on vivait encore dans les années 70, j'aurais certainement a-do-ré. Mais là non).

Souvent envie de leur crier brutalement "hé les gars, c'est notre bébé, notre affaire, donc merci de vos conseils, mais on va gérer entre nous et on vous tient au courant en temps voulu, ok ?" (Mais comme je suis polie et bien élevée, je souris et je souffre en silence...)

Il y a presque quatre ans, j'écrivais déjà sur ce blog - et dans un parlé un peu plus direct - que le choix d'un prénom avait nécessairement des conséquences (Je constate d'ailleurs que ça commentait bigrement plus à l'époque, hein ?!!!).
L'heure est venue à mon tour de ne pas faire de grosse boulette pour Fifille Première, et tenter de faire en sorte qu'elle ne nous voue pas une haine éternelle à chaque formulaire administratif à remplir. On s'en reparle dans une vingtaine d'années ?

2 janvier 2013

2013 : Wind of change

2012

Allez hop, une de plus ! Une nouvelle année s'achève, emportant avec elle son lot de souvenirs et de rebondissements. 2012 referme la porte sur la pointe des pieds. Cette fois encore, en ce qui me concerne, le cru fut riche en voyages et découvertes : les baleines et les plantations de thé du Sri Lanka, la Dolce Vita romaine, les Pasteis de Belem lisboètes, les châteaux pas vraiment hantés d'Edimbourg...

Inévitablement, l'année à venir sera sans doute plus calme... du moins au niveau valises et sac à dos. Elle risque en revanche d'être assez agitée et mouvementée, mais ce pour la plus jolie des raisons qui soit, et qui ne devrait d'ailleurs plus trop tarder à pointer le bout de son petit nez.

2013, vent du changement ? Parions que oui, forcément. Mais un changement doux et serein, dans la continuité de ce qui a déjà été amorcée en 2012...

Je vous souhaite en tous cas une nouvelle année remplie d'une brise légère et rafraichissante, ponctuée de quelques bourrasques pour les temps forts à venir, d'une ou deux tempêtes modérées car elles font souvent avancer, d'un mistral gagnant pour dégager les horizons parfois encombrés, et de doux alizés pour porter vos souhaits les plus chers.

Happy et joli 2013 à chacun et chacune d'entre vous !

 

24 avril 2013

A plus dans l'bus. Ou pas.

Arre_t_bus

Le panneau électronique de l'arrêt de bus indiquait temps d'attente estimé : 3 minutes, ce qui me paraissait très correct. Alors j'ai patienté. Un peu. Puis beaucoup plus. Après 12 minutes de torticolis intense à scruter l'horizon pour voir enfin ce bus débouler (Anne, ma soeur Anne...), toujours rien. Même le panneau électronique n'avait pas changé, il indiquait toujours très gentiment temps d'attente estimé : 3 minutes. Comme une bonne blague moyennement drôle.

Ce qui avait bien changé, en revanche, c'était le nombre de pékins comme vous et moi qui s'étaient mis en tête d'attendre ce foutu bus (parce que, oohh, 3 minutes, c'est bon...). Prise au piège du fameux maintenant-que-j'ai-attendu-j'attendrai-jusqu'au-bout, j'ai poireauté encore 4 bonnes minutes, avant de voir arriver fièrement un bus bondé pire qu'un jour de grève.

Au prix d'efforts surhumains, de ruses de sioux et d'un léger manque de politesse (ouais, mais j'étais là à poireauter AVANT, monsieur), je finis par me glisser à l'intérieur. Un seul pied posé au sol et pas un endroit où m'agripper, mais qu'importe, j'y suis j'y reste. Ah, on est bien Tintin, on est bien. C'est à dire qu'au m2, je pense que des sardines dans leur boîte s'estimeraient super privilégiées par rapport à nous.

Alors je vous vois venir : oh, mais c'est toujours comme ça, les bus aux heures de pointe, entre les embouteillages et le monde.

Oui, mais non.

Ce n'était pas l'heure de pointe. C'était un jour de semaine, parfaitement classique, à une heure banale, et je pensais justement très naïvement que prendre le bus en dehors des heures d'affluence revenait plus à faire une balade tous frais payés dans Paris, plutôt qu'à un combat de titans où seuls les plus forts survivent. (J'exagère ? A peine).

J'ai eu de nombreuses occasions de prendre le bus durant mon congé maternité, gros bidou ou baby-chou n'étant que très moyennement compatibles avec le métro craspouille et ses très trop nombreux escaliers. Et à de très rares exceptions, quels que soient l'heure de la journée, la ligne de bus, ou le jour de la semaine, c'était à chaque fois Règlement de comptes à RATP Coral.
Un peu comme le coup du Monop' aux heures de 'pas-pointe'. Tu penses que tu ne feras pas la queue trop longtemps ? Erreeeeeeeeeur. Entre 14h et 16h, il n'y a que 2 caisses ouvertes, et douze personnes devant toi au mieux.

Alors moi je veux bien qu'on limite la voiture à Paris, qu'on rende les voies sur berges aux piétons, qu'on favorise les cyclistes, les Autolibs, et tout le merdier qui va avec, mais faudrait quand même voir à faire quelque chose pour les transports déjà existants, non ? Parce que je ne vois pas trop comment on peut avoir envie de limiter ses sorties en voiture si c'est pour :
// se farcir 20 minutes de poireautage entre deux bus
// avoir un affichage des durées d'attente à la limite du poisson d'avril
// être parqués comme des bestiaux dans des conditions franchement peu sympathiques
// payer 2 balles son ticket pour qu'il soit non valable en correspondance (sérieux, 2 € !!! ca fait longtemps que j'ai mon Navigo, j'avais pas réalisé !)
// manquer de se bouffer le poteau à chaque freinage intempestif (et, je le soupçonne, pas toujours nécessaire).
Ne rayer aucune mention inutile.

La prochaine fois, si vous voulez, on parlera à nouveau des joies du métro parisien. Oh, et puis non, j'écris un blog, pas une encyclopédie en 8 volumes.

(Rhaaaaaaaaa, ça fait du bien de râler un petit coup, à nouveau !!!)

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